Et en 2003, dans un show en été. Sous mes couches de mascaras je t'avais remarqué. Et quand t'as terminé plus tard, je t'ai vu et j'ai pensé. Aller à ta rencontre voir si tu as du temps à m'accorder.
Trace le long du large et le sang. Dépouillé des efforts souillés. Par le temps des vagues. Celles qui poussent nos souvenirs. Sur les plages formées de rires.
Tu t'entremles et tu restes enferme. Et tes sens te disent que tu veux t'en aller. Et leurs rires rsonnent, et le mal s'emplifie. Car leurs rimes te suivent et deviennent ta routine.
Francis, tu as tant de chose à dire. Mais le tout reste enfermer. Et quand tu ne sais plus quoi dire. Tu te mets à pleurer. Mais ça ton publique le voit pas.
Dors, le mal est passé et tu entres dans la danse. Le pire de côté, ta revende en cadence. Tu sèmes le bonheur à chaque pas que tu fais. Et à ton réveil la vie reprend son train..
Côtes contre côtes nos corps vibrent par temps. Et dans cette course sans dérive. On tombe presque hors-champ. Et dans tes rires qui défoncent. Plus que l'ego qui te prend.
Et deux par deux, sans compter nos morts,. Qu'on laisse derrière des ébauches fanées, des secrets de carrière. Et trois par trois, dans nos cœurs essoufflés,.
Alor tu vois comme tout se mêle. Et du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-tête. Ton rire me crie de te lâcher. Avant de perdre prise et d'abandonner.
Songe après songe tu me manques. Et les pas ne disparaissent pas. Et jour après jour je songe. À courir très doucement vers toi. Mais toi tu ne me connais plus.
Tes lèvres en tremblent encore. Et l'homme que ton coeur porte semble moins fort. Et si le combat prend fin. C'est sûrement parce qu'on t'as pris par la main.