Et deux par deux, sans compter nos morts,. Qu'on laisse derrière des ébauches fanées, des secrets de carrière. Et trois par trois, dans nos cœurs essoufflés,.
Alor tu vois comme tout se mêle. Et du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-tête. Ton rire me crie de te lâcher. Avant de perdre prise et d'abandonner.