Sur le grand bassin du château de l'idole. Un grand cygne noir portant rubis au col. Dessinait sur l'eau de folles arabesques. Les gargouilles pleuraient de leurs rires grotesques.
Je m'invente un pays où vivent des soleils. Qui incendient les mers et consument les nuits. Les grands soleils de feu, de bronze ou de vermeil. Les grandes fleurs soleils, les grands soleils soucis.
Qu'on ne touche jamais aux folies, aux orages. Qui, chez moi, naissent et meurent entre passion et rage. Et que mes grands délires me fassent toujours escorte..