[Paroles : Christian Dcamps]. Au seuil de ton antique. Aux ornires d'un parchemin,. Je me risque poursuivre. Les lignes de sa main.... Silhouette de version latine,.
Si j'tais le Messie, je raconterais n'importe quoi,. N'importe o, n'importe comment,. Et les gens me croiraient,. Ils n'ont rien d'autre faire.... Si j'tais le Messie, je mnerais en bateau.
Faut penser faire les comptes des mille et un ennuis,. Ma douce Shhrazade, c'tait pas l'paradis !. Moi, je voudrais que tu me reviennes, que tu m'ries, que tu m'pleures,.
Si j'ai dans la veste. Un, deux ou trois lapins,. Quidams ! Je suis magicien !. Si je change la peste. En petits bouts de pain,. Ri-gue-dam ! Je suis diablotin !.
Une tignasse en fort. Sur des yeux en toiles,. La loi fripant notre destin !. Le sein cran d'arrt. Sous un sourire canaille,. Nous sommes bandits de grand chemin !.
Il est dj 9 heures et j'me balance au bout d'mon coeur.... Il n'a jamais fait si froid !. Il est dj 9 heures, et j'm'en balance et j'ai pas peur.... Il fait quand mme un peu froid....
Chouette ! Une fleur ! Ca bouge, a rit, a meurt,. Chouette ! Une fleur ! Ca chante toutes les couleurs !. Tiens ! Une fleur, pose tout contre ton coeur....
Nuages de faence relevs de nacre. Mon pinceau courbe l'chine comme un cheval de fiacre. J'ai esquiss la lune sur une toile de nuit. En laissant ma fortune aux cls du paradis..
Nuages de faence relevs de nacre. Mon pinceau courbe l'chine comme un cheval de fiacre. J'ai esquiss la lune sur une toile de nuit. En laissant ma fortune aux cls du paradis..
Histoire de train / histoire de rire. Un quai plein de valises, de mouchoirs humides.. Histoire de rire, histoire de train,. On est l'aube d'un grand dpart..
toi la Vie. Plus d'un oiseau siffle ton image. toi la Vie. L'homme a donn corps en ton sillage. . File ta laine travers ma peau. Chasse ma haine et mon ennui.
Tu es peintre du monde,. Souffle ton art, vernis mon tre.. Prends plaisir la ronde,. Des fleurs du soir deviens le prtre.. Fils de lumire,. Phallus dor, astre des temps,.
De temps en temps. D'o vient le sentiment. De crever d'infortune. De temps en temps. D'o vient le filament. Qui lie chaque lacune. . A chacun sa place.
Une pniche de joie. Glisse sur mon lacrymal. J'ai sing Attila. Pissant du haut d'son cheval. . J'imitais la Madone. Enveloppe dans sa carapace. J'ai pouss Al Capone.
Les Damns:. Bivouac!. O bivouac!. O bivouac bon diou!. L'alchimiste:. C'tait en hiver. J'avais longtemps march!. Les Damns:. O bivouac!. O bivouac!. O bivouac bon diou!.
Les Damns:. Bivouac!. O bivouac!. O bivouac bon diou!. L'alchimiste:. C'tait en hiver. J'avais longtemps march!. Les Damns:. O bivouac!. O bivouac!. O bivouac bon diou!.
Tide se veut la nuit,. S'ouvre la bote souvenirs ;. Limpide coulait ma vie. Quand j'tais clown, quand j'tais rire ;. Mais j'avais tremp chemise. Dans un naufrage !.
A quatre pattes,. J'te dlire, tu m'pates.... A saute-mouton !. A quatre pattes,. Tu me gifles, je te chatte.... A saute-mouton !. Fort de vouloir te creuser un tunnel sous la hanche.
[Paroles : Christian Dcamps]. Dis-moi comment ils ont repeint l'hiver. Dis-moi pourquoi la neige se drobe ?. Plus d'un demi-sicle tourner dans le noir,.