Tes yeux sont comme les pierres. D'une rivière. Qui ferait se damner le plus grand diamantaire. Au fond de son échoppe dans le port d'Anvers. Ce sont des diamants noirs sur ton visage clair.
Loin des projos, loin des télés. Et des animateurs blaireaux. Tous ces crétins dégénérés. Fringués, coiffés comme des proxos. Loin des journaux et des radios.
Lorsque mes mains caressent. Ta belle anatomie. Que mes yeux redécouvrent. Ta planète inconnue. . Je deviens Aristote. Prince d'astronomie. Me noie dans l'infini.